Parce que l’équité est au cœur de la promesse républicaine et qu’il est fondamental de donner à nos jeunes citoyens les moyens d’envisager l’avenir sans hypothéquer leurs ambitions, le PRG considère que la jeunesse doit être encouragée et propose un capital de départ de 40 000 euros versé à chaque Français, par étapes, dès le jour de ses 18 ans.
La naissance ne doit pas déterminer le destin
Alors que la précarité touche plus de 72% des jeunes, que les files d’attente des aides alimentaires destinées aux étudiants ne cessent de grossir, que les inégalités se creusent, le capital de départ apparaît comme un moyen de rompre avec le déterminisme social et de replacer l’égalité des chances au centre des enjeux.
Dans un même temps, le capital de départ permettra de libérer les foyers précaires du coût colossal des études supérieures (estimé à environ 9000 euros par an et par étudiant).
Aujourd’hui, les héritiers ont en moyenne 55 ans !
Contrairement à l’héritage, cette mesure profitera à tous les jeunes adultes et viendra par ailleurs combler les carences du système de succession qui est une véritable machine à reproduire les inégalités.
Nous souhaitons que la jeunesse ait les ressources nécessaires pour se créer un réel horizon et choisir son destin. Avec le capital de départ, chaque nouvelle génération aura enfin la capacité de financer ses études, d’investir dans son logement ou de se lancer dans un projet de vie.
Contrôlé et porté par les banques, garanti par l’Etat, remboursé sur les successions les plus importantes, ce capital fonctionnera avec un fond de roulement de 13 Md€.
Nous voulons un capital de départ parce que nous croyons au mérite, au libre arbitre, à l’équité et en la jeunesse.
Nous voulons un capital de départ car la naissance ne doit plus déterminer le destin. Parce que l’avenir ne doit être interdit à personne.